Chez Bose, nous croyons que le son est puissant. Le pouvoir d’inspirer, le pouvoir de motiver, le pouvoir de transformer. Nous croyons que la musique nous encourage non seulement à suivre nos passions, mais elle nous aide aussi à les développer. C’est pourquoi nous célébrons les personnes qui utilisent la musique pour continuer à promouvoir et à raconter leurs histoires. Dans cet article, nous parlons de Marielle Washington et de sa passion pour l’art et la façon dont la musique joue un rôle dans son processus.

Marielle portant les écouteurs Bose QuietComfort® Earbuds
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Marielle Washington est une artiste américaine qui a trouvé sa passion à un jeune âge. « J’ai peint pratiquement toute ma vie », dit Marielle. « J’ai commencé quand j’avais cinq ans. Lorsque j’étais à la maternelle, nous devions dessiner une rose. Et ma rose avait vraiment l’air d’une rose. Mon professeur en a parlé à mes parents. Depuis, mes parents m’ont laissé en classe d’art de l’école primaire jusqu’à l’école secondaire. Et puis je me suis spécialisée à à l’université. »
Même si Marielle aime et pratique de nombreuses formes d’art, sa spécialité est les portraits. « Le but de faire des portraits est de capturer l’essence de la personne que je peins, dit Marielle. Et je pense qu’il est génial de voir cela à si grande échelle. » En peignant devant l’œil du public, Marielle a grandi dans son art d’une façon qu’elle n’avait jamais prévue, en devenant plus à l’aise à peindre tout en apprenant à oublier les distractions et à se concentrer sur son travail. « En fait, je détestais lorsque les gens me regardaient peindre », dit Marielle. « Je pense que c’est à cause de l’école primaire, où tout le monde ne fait que vous critiquer beaucoup. Mais ensuite, lorsque j’ai vu d’autres personnes faire des murales en public, j’ai réalisé que c’était complètement autre chose que ce que je vivais en classe. En parlant à d’autres personnes qui apprécient vraiment l’art, au lieu de me faire dire : ‘‘Oh, tu aurais dû placer cette ligne ici’’, ou ‘‘tu aurais dû faire ça’’, j’ai pu m’amuser à peindre devant les gens. C’était une peur, et au lieu de s’attaquer à cette peur, il suffit de le faire. Être en mesure de peindre devant les gens m’a vraiment aidé à apprécier mon art encore plus. »
Des modèles de célébrités au sein de la communauté noire aux idoles locaux, Marielle peint pour mettre en lumière la positivité que les PANDC insufflent dans les communautés. « Cela aide de voir plus de femmes noires en public », dit Marielle. « Et honnêtement, c’est la majorité de mon art. J’adore peindre les gens noirs dans une lumière positive, parce que je sens que nous devons être vus davantage de cette manière, et c’est pourquoi j’ai peint Aaliya et Gil Scott-Heron. J’ai toujours aimé trouver des gens noirs, même locaux, pour peindre, juste pour montrer plus de notre culture, que ce soit de la musique, du cinéma ou du divertissement. Il suffit de la montrer et de répandre de la joie à tout le monde. »
Marielle a trouvé un lien plus profond avec son art grâce à la musique. Il ne s’agit pas seulement de créer l’ambiance. Il s’agit de trouver le bon rythme et l’essence de la pièce.
« Quand je suis dehors en train de peindre une murale, je peux entendre des voitures passer, je peux entendre des gens parler, je peux entendre des travaux de construction », dit Marielle. « J’aime écouter de la musique et porter mon casque d’écoute pour que je puisse effacer tous les bruits ambiants, et simplement être présente et me concentrer sur ce qui se trouve devant moi. Parce que lorsque vous vous concentrez sur une seule chose à la fois, cela la rend vraiment meilleure. Il est plus facile pour moi de capturer l’essence de tout ce que je peins, qu’il s’agisse d’une fleur ou d’une personne. C’est toujours mon objectif : capturer l’essence. » Et parce que Marielle peint beaucoup de musiciens, elle trouve souvent leur essence dans leur musique. « J’aime écouter la musique de la personne dont je peins », dit Marielle. « Si je peins Whitney Houston, j’écoute Whitney Houston, car tout s’enchaîne. »
“With this painting, I was trying to capture a piece of me to share a little bit more of my essence.”
Cette fois, le sujet de Marielle n’était pas un autre artiste, mais bien elle-même. Elle a pris le temps de réfléchir à l’essence des autres et de redécouvrir l’essence qui se trouve au sein d’elle-même.
« Faire son propre portrait est en fait plus difficile parce que vous analysez votre propre visage », dit Marielle. « À l’école primaire, nous avons dû faire beaucoup d’autoportraits. Je n’arrivais jamais à faire un autoportrait qui me ressemblait. Mais j’ai remarqué une différence cette fois-ci. Je devais arrêter de me juger autant et seulement peindre mes yeux et mon nez. J’adore mes anneaux en or. Je les porte en tout temps. J’ai donc décidé de conserver l’or dans la peinture. Puis, le côté amusant était les éclaboussures d’or sur toute la peinture, parce que c’était tellement libérateur. Je pouvais vraiment être dans le moment, car cela n’avait pas besoin d’avoir un type de forme quelconque. Je ne fais que lancer la peinture et voir ce qui se passait. Et c’était génial. »